À propos de la Ligne d’écoute
d’espoir pour le mieux-être
Appelez-nous ou clavardez en ligne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Services
La Ligne d’écoute d’espoir pour le mieux-être est accessible à tous les Autochtones du Canada. Les conseillers expérimentés et sensibilisés aux réalités culturelles peuvent être joints par téléphone et par clavardage en ligne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Les services d’appels et de clavardage sont disponibles en français et en anglais. Le soutien téléphonique est également offert sur demande en :
- cri;
- ojibwé (anishinaabemowin);
- inuktitut
Notre mandat
Nous sommes là pour vous aider chaque fois que vous souhaitez parler :
de vos expériences, défis et enjeux – grands ou petits
d’un sentiment de détresse
des autres mesures de soutien en matière de bien-être à votre disposition
Pour en savoir plus sur les autres mesures de soutien en matière de bien-être, vous pouvez également consulter les pages Soutien supplémentaire et Liens et renseignements.
Conseillers de la Ligne d’espoir pour le mieux-être
Les conseillers de la Ligne d’espoir pour le mieux-être ont des parcours scolaires et professionnels variés, possèdent des connaissances sur divers sujets et ont une compétence culturelle démontrée. Lorsque vous appellerez la Ligne d’écoute d’espoir pour le mieux-être, vous parlerez à un professionnel qualifié qui vous écoutera et vous proposera des mesures de soutien et des ressources :
sans jugement
avec respect
adaptées aux réalités culturelles
à l’aide d’approches tenant compte des traumatismes
Confidentialité
Les services de la Ligne d’écoute d’espoir pour le mieux-être sont entièrement confidentiels. Cela signifie qu’aucun renseignement à votre sujet n’est partagé de quelque façon que ce soit.
Pour en savoir plus sur la façon dont vos renseignements personnels sont gérés, veuillez lire la politique de confidentialité et les conditions générales de Donna Cona (en anglais).
Opérations et financement
La Ligne d’écoute d’espoir pour le mieux-être a été lancée en 2016. Elle est gérée par l’organisation autochtone Donna Cona et financée par le gouvernement du Canada.